Ça C’Est Passé Simplement 1

Le mercredi 10 avril 1985
Pour suivre ce qui c’est passé il faut remonter à 1979. Pour une question de conjoncture, la société routière « La route » décide de faire évoluer le secteur travaux de Limoges en un centre de travaux (la hiérarchie étant secteur, centre, agence, région). Pour ce faire j’ai été embauché comme chef de centre et en même temps une jeune femme « Mireille » comme responsable administrative.
Je m’appelle Jean et à cette époque j’avais 30 ans. Je suis brun 1,77m, 80 kg, ni beau ni laid malgré tout sportif. Mireille a 26 ans jeune femme, mignonne, yeux marrons, lèvre gourmande, environ 1,60m, mince, cheveux courts, poitrine moyenne (entre étudiant on l’aurait classée B, comme Bonne) qui paraît ferme, un joli cul et d’un tempérament énergique, sachant ce qu’elle veut. En un mot comme en cent disons que ce n’était pas une playmate, mais elle était baisable et vu son tempérament au travail on pouvait supposer qu’au lit ce serait peut-être une bonne affaire. Ayant toujours travaillé dans le milieu des TP, elle en avait adopté le vocabulaire, surtout quand elle se mettait en colère, ce qui pouvait surprendre.
Même si elle était positivement très baisable, elle était hiérarchiquement sous ma responsabilité, son domaine étant l’administration et le mien, les travaux. Ayant pour principe de ne pas mélanger travail et plaisir nos relations ont toujours étaient courtoises ou amicalement courtoises.
Deux ans après, donc 1981, notre maison mère cherchait un directeur de travaux routier pour le Chili, je me portais volontaire et j’étais muté.
Ce chantier finit, je me retrouve, en 1983, à Limoges où suite à des restructurations le centre avait accueilli dans de nouveaux bureaux la région. Cette région couvrant ce que l’on pourrait, aujourd’hui, appeler la nouvelle aquitaine, mais s’arrêtant au nord de la Garonne. Quant à moi je m’occupais de la promotion et de la mise en œuvre des produits spéciaux sortis de nos laboratoires.

Autrement dit, je passais les trois quarts de mon temps sur la route et le soir à l’hôtel.
Mireille quant à elle, avait pris du galon et était la responsable administrative pour la région, elle était donc appelée à tourner dans les centres, agences, … Nous n’avions plus aucun lien hiérarchique. Nous nous croisions dans les bureaux de la région, « Bonjour, Bonsoir ».
Depuis pratiquement un an nous savions que le chef d’agence de Bordeaux devait partir à la retraite. Le lundi 18 mars 1985, le patron me convoquait à son bureau pour m’annoncer que j’avais été choisi par la direction pour le remplacer et que ma nomination prendrait effet à partir de début juillet.
Cela faisait, donc, environ deux années que je tournais dans la région et depuis l’annonce je faisais ma tournée d’adieu. Ce soir là, mercredi 10 avril, j’étais en train de diner en lisant un livre, comme d’habitude, quand je vis Mireille qui se dirigeait vers ma table.
Elle : « Bonsoir, je peux »
Moi : « Bien sur »
Rien d’anormal, ce n’était pas la première fois que nous dinions ensembles et pour changer nous avons parlé boulot, n’ayant peu d’autres sujets en commun.
Le repas terminé Mireille me dit : « Une nouvelle boite a ouvert ses portes à Royan, si on allait prendre un verre »
Là aussi rien de bien extraordinaire, cela nous était arrivé avec elle ou d’autres de la société quand on se retrouvait à l’hôtel, ou pour un anniversaire, … de sortir pour aller prendre un verre en ville, ou dans une boite ou dans un bar afin de nous changer des hôtels, qui se ressemblent tous.
Donc en route pour la boite de nuit. Nous arrivâmes parmi les premiers.
On s’installa, on commanda chacun un whisky et on regarda un moment les jeunes tous seuls ou face d’autres spécimens, se tortiller, se déhancher sur la piste au son d’une musique de fous. Je préférais encore le bruit des machines sur les chantiers que ces bruits émis avec force décibels. Me penchant vers Mireille je lui demandais : « Ils appellent ça danser »
Mireille : « Oui, je pense, en fait c’est du sport »
Moi : « Pour moi danser, c’est avoir le plaisir d’évoluer avec une femme dans ses bras »
Mireille : « Ne vous faites pas plus vieux que vous êtes »
Et elle se leva, pour moi, elle devait certainement aller « se poudrer le museau », quant à moi j’essayais de trouver l’excuse, le motif pour pouvoir partie et filer hors de ce tintamarre.

Elle revint relativement rapidement avec un léger sourire aux lèvres.
Trois danses de singes plus tard, l’intensité de la lumière diminue et le disc-jockey met un tango.
Mireille se lève avec un grand sourire et me dit : « Maintenant, vous ne pouvez pas ne pas m’inviter à danser ? »
Moi avec un éclat de rire et en pensant, ce coup ci, j’ai peut-être une chance avec cette nana : « Bien jouée, gagnée, permettez moi de vous inviter à danser »
Et nous voila sur la piste avec, malgré ce changement de musiques, d’autres couples. Avec le genre d’intuition qui m’était venue, je décidais d’être actif et non plus passif. Donc arrivé sur la piste je prenais ma cavalière dans mes bras et l’a collée à moi. Ceci se fit sans aucun problème et Mireille se colla à moi, elle suivait bien et elle avait un genre de roulement du bassin qui ne me laissait pas indifférent et une certaine bosse apparu sous ma ceinture. A tel point, qu’avant l’enchainement pour le deuxième tango, j’essayais de rendre la bosse moins sensible, mais le deuxième puis le troisième tango ne firent qu’augmenter le volume de la dite bosse. Nous rejoignîmes notre table et reprîmes notre discussion. Les danses de fous reprirent et il commençait à me tarder de quitter ce foutu bruit, mais il me fallait trouver le motif plausible pour notre éventuel départ. D’autant qu’à priori, je n’avais pas beaucoup avancé dans « une éventuelle conquête » de cette jeune femme.
Ces brillantes pensées furent anéanties par un nouveau changement de rythme. C’était des slows et sans presque nous concerter, nous étions sur la piste. Mireille se colla à moi et mis ses bras autour de mon cou, je n’avais plus qu’à l’entourer de mes bras puis au cours de la série, explorer tactilement son dos, sa taille, ses hanches en de lents mouvements qui pouvaient être considérés, aussi, comme des caresses. La série terminée, nous rejoignîmes notre table et Mireille me dit qu’il serait peut-être sage de rentrer. Nous vidâmes nos verres et retour à l’hôtel.

En cours de route, le sujet se concentra sur la médiocre qualité du whisky et que celui de l’hôtel était nettement meilleur. Je lui proposais donc d’en prendre un nouveau en arrivant à l’hôtel.
Malheureusement ou heureusement, arrivé à l’hôtel le bar était fermé, alors Mireille dit : « Puisque c’est comme ça j’ai vu que j’en ai dans le frigidaire de la chambre on va le gouter ». Dans le couloir qui nous amenait à nos chambres, la première atteinte fut celle de Mireille. Elle ouvrit la porte entra et après un coup d’œil dans le couloir je rentrais également et fermais la porte.
Mireille : « Vous observer quoi ? »
Moi : « Je me méfie du personnel, dont les yeux trainent partout »
Mireille : « Merci »
Mireille avait posé son sac et m’attendait alors que je la rejoignais, je me dis que c’était le moment de prendre une décision rapide. La gifle ou le baiser ? La porte ou le lit ? Arrivé à sa hauteur, je la prenais dans mes bras, elle se colla à moi, mis ses bras autour de mon cou et levant la tête me dit : « Embrasses moi ». C’était presque gagné. Elle avait la bouche légèrement ouverte, nos lèvres se joignirent, nos langues se cherchèrent, se trouvèrent, s’enroulèrent, se caressèrent, se léchèrent et nos bouches s’aspirèrent. Pendant ces jeux de bouche le bassin de Mireille se frottait à ma bosse qui devenait de plus en plus importante. Enfin le jeu de bouche s’arrêtant nous nous séparâmes, certes un peu surpris (surtout moi) de ce qui se passait.
Il faut préciser que Mireille était habillée d’une robe d’un gris très clair, au dessus du genou, ras du cou et qui épousait vaguement ses formes. Tout naturellement Mireille se retourna et me dit : « L’agrafe du haut de ma robe est toujours difficile à défaire peux-tu m’aider ». Bien sur et naturellement et instinctivement je descendais jusqu’à mi-dos la fermeture éclair.
Mireille : « Ouvres complètement la fermeture éclair »
Ce que je fis, celle-ci s’arrêtant pratiquement à mi-fesses.
D’un seul mouvement Mireille quitta sa robe, la laissa tomber parterre, et la repoussa du pied. Elle était un slip et soutien-gorge. Son effeuillage rapide étant terminé elle se retourna contre moi pour une nouvelle séance de lèche museau, mais j’en profitais aussi pour dégrafer son SG, qu’elle expédia sur une chaise.
Enfin Mireille me dit : « Je suis presque nue et tu es encore habillé, tu veux rester ainsi ? »
Effectivement, mais avec son aide il ne fallut pas longtemps avant de me retrouver en boxer-short.
Ainsi dévêtus nous atterrîmes sur le lit pour une nouvelle partie de lèche-museau, toujours fort agréable, avec une langue chaude et pénétrante. J’abandonnais la partie pour me consacrer à ses seins qu’elle avait bien ronds, bien souples aux mamelons bistres clairs et aux aréoles très agressives. Elle me les offrait et je m’occupais d’eux, passant de l’un à l’autre en les léchant, les suçant et en en replissant ma bouche gourmande. Je me mis aussi à les téter, ce qui amena de longs soupirs de ma compagne et quelques commentaires.
« Oui, …, continues, …, oui, mords moi les tétons, …, encore, j’aime, …, tètes moi, je suis tellement sensible, … ohhh, ouiiii, comme ça, …, n’arrêtes pas, …, OOOHHHH, OUIII, …»
Si ma bouche s’occupait activement de ses jolis nénés, j’avais la main droite qui avait lentement atteint son intimité en se glissant dans son slip, ce qui n’avait pas posé de problème, les cuisses s’étant gentiment écartées pour me libérer cet accès.
Puis des seins, je descendis sur le ventre pour arriver à son intimité qui était toujours cachée par son slip, que je lui enlevais, ce qui ne fit aucune difficulté, bien au contraire car elle souleva son bassin pour me faciliter la tache. J’en profitais, également, pour enlever mon boxer-short. Je constatais que son slip était légèrement humide, preuve que ce que nous avions fait avait eu un certain effet. Le slip enlevé, je m’incérais entre ses cuisses et avais une vue imprenable sur ses grosses lèvres bistres clairs, bien gonflées, séparées par un joli et étroit sillon rose, déjà luisant de mouille, le tout entouré d’une toison brune taillée très courte. L’odeur de la femelle, chaude et humide me saoulait et je me précipitais vers cette chatte offerte d’autant plus que les cuisses largement écartées ne présentaient plus aucun obstacle et s’étaient ouvertes à ma bouche gourmande et à mes doigts inquisiteurs. Je commençais à lui lécher le minou en parcourant son joli sillon rose, doux et souple. Ce traitement, à l’écoute des soupirs de sa propriétaire, semblait lui convenir. Mais j’avais bien l’intention de faire mieux et ma langue, tout en poursuivant ce joli sillon de plus en plus humide, la pénétra lentement. Le début de pénétration entraina une légère accélération de la respiration et une augmentation de l’ouverture du compas des cuisses. Pendant ce temps ma partenaire malaxait avec ardeur ses nénés. Je m’enfonçais plus avant dans sa grotte d’amour, la réaction fut rapidement audible : « Ohhh, … oui, … oui prends moi avec ta langue, … j’aime, …, c’est bon, … ouiiii, … continues, … »
Elle coulait abondamment et instinctivement j’ai pensé que ça devait longtemps que personne ne lui avait fait subir ce petit traitement. Et par envie, pendant que ma langue se promenait et pénétrait son sillon, je pénétrais gentiment, doucement son minou avec deux doigts. Là, la réaction fut immédiate et étonnante, elle ouvrit encore plus les jambes tout en se cabrant, ce qui facilita, si c’était possible, l’entrée de mes doigts dans sa chatte et je commençais tout en la léchant et la suçant à la masturber doucement, mais profondément et la sono se mit en route :
« Ohhh, ouiiii, …, j’aime te sentir, …, ouiiiii, prends moi avec tes doigts, …, vas au fond, …, continues, …, accélères, …, ouiiiii, c’est bon, … OHHHHHH que c’est bon, j’aime, …»
Plus la masturbation se faisait intense, plus le corps de Mireille se tendait et non seulement le son montrait qu’elle aimait ce que je lui faisais « subir » plus elle coulait, une véritable fontaine. Je sortis mes doigts de sa minou, bien imprimés de son jus de plaisir, pour le goutter et lui proposais également d’y gouter. Elle n’hésita pas et suça mes doigts avec gourmandise, ce qui me confirma dans le sentiment que j’avais que ce que nous faisions était, à tous coups, une exercice qu’elle devait pratiquer relativement souvent, quand elle était en manque de sexe. Tout cela faisait que j’avais une trique en pleine forme et qui fallait changer de jeu faute de quoi, je ne pourrai pas honorer cette jeune femme. Heureusement, brutalement Mireille referma ses cuisses sur ma tête et dit :
« Arrêtes, tu vas me faire jouir, … viens prends moi, … oui, viens, je veux te sentir me prendre, …, je te veux en moi, …, viens, … , j’en ai tellement envie, …, oui, viens »
Sans hésiter je remontais son corps chaud et doux et me prenant en main elle m’introduisit dans sa grotte d’amour, que je pénétrais sans problème, tellement elle était ouverte, accueillante, lubrifiée. D’un seul coup de rein je m’enfonçais entièrement dans sa chatte. Elle eut un soupir de satisfaction et je commençais mes va et vient en elle. Elle ne fut pas longue à réagir, il faut dire qu’elle était chaude à souhait. Quand le rythme fut pris, la sono se mit en route :
« Ouiiii, …, continues, …, j’aime te sentir me prendre, …, Ohhhh, …, c’est bon, …, oui baises moi, baises moi fort, j’en avais tellement envie, …, depuis si longtemps, …, baises moi comme une salope, …, OUIIII, … , c’est bon, …, j’aime ta queue, …, OUIIIII, continues, …, je sens que je vais jouir, …, ne t’arrêtes pas, …, remplis ma minou de ton jus, …, OOOOHHHH, que c’est bon, …, OOOOHHHH, …, OUIIIIIII ? …, JE JOUIS, … »
Elle n’avait pas besoin de le dire, elle venait d’avoir un orgasme aussi brutal qu’inattendu qui l’a fit se contracter à tel point que même ses muscles internes incérèrent ma queue alors que j’étais entrain de me vider dans sa grotte. Puis vint un deuxième et un troisième spasme plus calmes. Enfin elle se calma « Fais moi un câlin « en se callant contre moi, tira les draps sur nous et tout devint calme.
Après un certain temps de relaxe bien au chaud contre elle, je pensais devoir me retirer, peut-être discrètement mais aussi galamment que possible. Je commençais à bouger, quand Mireille vint m’embrasser et se frotter à moi. « Tu ne vas partir déjà, restes encore un peu » Pendant cette phrase, sa main droite descendit vers « popol » qui était loin de faire honneur à son propriétaire. Tout en m’embrassant, en se frottant à moi, sa main courrait sur mon sexe, d’abord, seuls le bout des doigts, puis ce fut les ongles. Suite à ce traitement, ma tige ayant pris un peu de consistance, elle l’a pris à pleine main et commença à me branler, doucement gentiment. Pour ma part, je lui caressais le dos, l’embrassais dans le cou, … Puis elle fit sauter le drap et descendit vers mon sexe et commença à le titiller à petits coups du bout de la langue, ce qui était non seulement fort agréable, mais hyper sensuel, et entrainait quelques fourmillements au niveau de « popol » qui semblait vouloir se réveiller. Quand la consistance fut acceptable, Mireille me prit en bouche, d’abord le gland qu’elle suça comme une glace puis plus en bouche pour m’avaler complétement et commença à me pomper. Ses lèvres formaient un fourreau chaud dans lequel ma tige coulissait avec douceur et en même temps qu’elle m’aspirait elle finissait par sa langue qui parcourait le gland, et le cycle recommençait. C’était des sensations formidables et cela entrainait une de mes meilleures érections, et une pression folle. De plus j’avais l’impression qu’elle m’avalait entièrement, c’était moi qui étais en train de grimper aux rideaux. Pendant cette pipe, je pensais : « La garce, elle suce bien » mais j’ai pensé cela tellement fort qu’à ma grande surprise je le dis tout haut, la réaction ne se fit pas attendre. Mireille s’arrêtât et avec une grand sourire : « Merci pour le compliment » et se remit à sa tâche. J’atteignis rapidement le point de non retour ou j’allais tout lâcher, courtoisement je la prévins : « Attention, je ne tiens plus », au lieu de s’arrêter elle me pompa de plus en plus vite et ce qui devait arriver arriva, je lâchais une première giclée, elle se retira légèrement avala le tout et sans sourciller se remit à pomper et je lâchais une deuxième giclée, nettement moindre et elle avala le tout. Elle donna quelques coups de langue sur le gland pour récupérer les dernières gouttes de mon jus. J’étais vidé, épuisé. Elle remonta : « Tu vois, ta bouche a pris ma chatte, la mienne a pris ta queue » et elle se calla contre moi, pour un câlin.
La pression se relâchait, l’ambiance devenait calme et je commençais à somnoler, quand j’eu un sursaut de courage et me levant j’avais l’intention de m’habiller, Mireille se redressa, se mit assise et me dit « Tu sais, tu peux rester »
« Tu connais mon opinion sur le personnel, il serait facile de faire certains rapprochements et ce serait ennuyeux, pour notre réputation »
« Oui, tu as raison »
Je finissais de m’habiller et avant de partir, je m’approchais d’elle, elle tendit ses lèvres que j’embrassais mais en même temps, comme elle était assise j’avais ses seins à portée de main et je m’empressais de les caresser. Elle me fit gentille tape sur la main et me dit : « Je sais comment ça commence et tu sais comment ça finit ? Demain il y a école ».
Personne dans le couloir, surtout à cette heure là, je quittais la chambre.
Le lendemain matin après une courte nuit, j’allais prendre le petit déjeuner et je passais devant la chambre de Mireille, je failli m’arrêter, mais je n’en fis rien, me disant que les femmes n’aiment pas qu’on les voit au saut du lit, je passais mon chemin. J’avais un espoir de la voir pour le petit déjeuner et que … peut-être, …, je remettrais bien le couvert, …, mais personne, je quittais l’hôtel sans qu’elle apparut.
On se retrouverait le lundi aux bureaux. Ceux-ci étaient organisés de la façon suivante, au rez-de-chaussée l’agence et à l’étage la région. Au fond le chef de région et son secrétariat et en s’approchant de la descente, le bureau de la responsable administrative et ses collaboratrices et enfin mon bureau. Autrement dit, tout le monde passait devant mon bureau le matin. J’avais toujours ma porte ouverte et rituellement les personnels passaient et c’était : « Bonjour Monsieur, ça va ? »
« Oui, bonjour et vous bon WE » et l’affaire était réglée.
Le lundi suivant j’étais au bureau, et j’étais curieux de voir ce qui se passerait quand Mireille passerait. Quand elle passa le rituel fut respecté. J’avais pourtant espéré autre chose de la part de Mireille, mais, … on peut toujours rêver.

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